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Suite à la demande de l’association de développement du village de Tizi N’Oucheg situé dans le Haut-Atlas marocain, au sud-est de Marrakech, des élèves du Lycée de Vaucanson ont installé, du 12 au 19 octobre 2019, un modèle de CBE dont ils ont contribué à l’amélioration dans chaque habitation.
Ce travail a débouché sur une belle action au Maroc qui ouvre d’autre perspectives, puisque l’association Vauc’en Sciences a déposé un dossier auprès de la région Centre pour un projet portant sur 400 CBE et des séchoirs.
mercredi 13 novembre 2019 | Afrique > Maroc
Dans le cadre du partenariat entre Tafarnout avec l’organisme SES basé à Bonn dépendant de la coopération allemande, un expert agronome expérimenté dans le domaine des séchoirs solaires a été sollicité et est intervenu auprès des femmes des coopératives afin d’améliorer leurs connaissances dans le domaine du séchage solaire en utilisant le modèle de BISS.
Un diagnostic sur les différents produits pouvant être séchés a été mené afin de permettre aux femmes de varier leurs productions. Cet accompagnement a renforcé les techniques de séchage des femmes sur de nouveaux produits et amélioré la qualité de leur production en vue de la commercialisation (en suivant des protocoles et en assurant un contrôle qualité). Des essais concluants ont été faits sur les tomates, les figues, les navets, les pommes, les pruneaux, les raisins et le couscous aux plantes aromatiques.
Aujourd’hui, l’ensemble des coopératives disposent du statut et peuvent produire et vendre leurs produits. Grâce à cette énergie, une nouvelle coopérative a rejoint le projet en recevant deux séchoirs. Elle est un exemple de réussite de la part de jeunes filles de la région qui n’ont pas pu terminer leurs études et qui ont l’opportunité d’intégrer une activité génératrice de revenus. Dans cette coopérative, la production est diversifiée et elle a réussi les tests de culture du Safran. Elle dispose d’un local adapté, d’un logo, d’étiquettes et d’emballages, et a intégré un circuit de commercialisation actif.
Elle est l’un des 5 membres du réseau « coopératives solidaires », qui a permis la création de valeur ajoutée issue du savoir-faire ancestrale des femmes des coopératives. Les produits du terroir proposés répondent aux normes de bonne qualité et sont certifiés par l’ONSSA. L’impulsion du réseau a renforcé la capacité de production pour répondre aux besoins du marché.
Pour chaque dirham dépensé dans l’achat de produits présentés dans le cadre des coopératives solidaires, 10 centimes sont versés dans un compte de développement social destiné aux femmes membres de coopératives rurales.
Ce fond contribue à l’amélioration des conditions de vie des habitants des villages de la région en matière de santé, d’éducation, de lutte contre le chômage, etc.
Ce projet est une réussite et un exemple de durabilité des actions menées dans le cadre d’un projet de coopération internationale.
mercredi 16 octobre 2019 | Afrique > Maroc | 4 documents
Le projet a démarré le 1 octobre 2019 par la réalisation d’un diagnostic initial sur place. Cette étape est cruciale, elle permettra d’identifier les besoins exprimés par les bénéficiaires et d’envisager les principales activités du projet.
Dans le Département de l’Atacora, au nord du Bénin, les productions agricoles sont abondantes mais souvent perdues ou non valorisées du fait du manque d’outils et de formations pour assurer la transformation. L’enclavement des villages et les difficultés d’acheminement des produits vers les marchés sont des freins conséquents à la valorisation monétaire des denrées.
Afin de valoriser les productions agricoles, les femmes se réunissent sous forme de groupements et mettent en place des systèmes d’épargne collectifs pour développer des activités économiques (étuvage de riz, production de beurre de karité, de farine de manioc, etc.).
Mais, le manque de moyens techniques et organisationnels freine le développement de leurs activités. C’est pourquoi, une micro-entreprise sociale et inclusive Kocali food, s’adjoint au projet afin de faciliter la diffusion et la commercialisation des produits séchés au niveau régional et national.
Rejeve
mercredi 16 octobre 2019 | Afrique > Bénin | 3 documents
Cette édition se déroulera le 1er octobre 2019. Au travers de cet événement, BISS ainsi que d’autres associations environnementales, auront l’opportunité de pitcher leur projet devant des mécènes intéressés par les thématiques.
BISS a décidé de présenter, dans la thématique Climat et Énergie, son nouveau projet « le séchage solaire, facteur de développement économique au Bénin ».
Le projet vise à soutenir deux groupements de femmes et une entreprise de vente de produits transformés, dans la mise en place d’activités de séchage solaire. Dans le Département de l’Atacora (Nord Bénin), les productions agricoles sont abondantes mais souvent perdues ou non valorisées du fait du manque d’outil et de formation pour assurer la transformation.
Le projet souhaite atteindre 2 objectifs :
• la création d’Activités Génératrices de Revenus (AGR) autour du séchage solaire afin de valoriser les produits locaux
• le renforcement des compétences et de l’indépendance financière des femmes transformatrices de produits agro-alimentaires.
Votez (et faites voter) pour notre projet au Bénin !
Les lauréats du prix recevront un financement immédiat entre 10K€ à 50k€.
En 2018, 400 000 euros ont été distribués à 27 projets. 40 projets avaient été présentés au total.
C’est l’occasion d’augmenter l’impact du projet sur le terrain en consolidant les activités et de renforcer la visibilité médiatique du nouveau projet de BISS au Bénin.
vendredi 13 septembre 2019 | Afrique > Bénin
Aujourd’hui, grâce à l’intervention d’une formatrice, 4 des 8 coopératives ont rattrapé intégralement leurs retard et les 4 autres sont sur la même voie et ne tarderont pas à le rattraper. Les partenariats sont toujours solides et la volonté des femmes des coopératives est toujours présente.
La fabrication de quatre nouveaux séchoirs a été lancée pour répondre aux besoins de production. Simultanément, les coopératives diversifient la production en effectuant des tests (bananes, abricot, raisins,etc.) avec une attention particulière pour le Safran appuyé par le Ministre de l’Agriculture.
Dans plusieurs coopératives, des travaux ont été entrepris sous la supervision du chef de projet local afin d’améliorer les conditions de travail et la productivité des coopératives comme daller les cours pour faciliter le déplacement des séchoirs solaires et construire un abri pour protéger les séchoirs des intempéries (coopérative Tilatine), installer un plan de travail et un espace de préparation adapté (coopérative Ait Moussa), faciliter l’accès des femmes et des clients au local (coopérative Ait Bouli).
L’intervention de la consultante Amina Majdi a permis de réaliser un travail considérable. Des sessions de formation sur les textes de loi qui régissent les coopératives et sur le rôle du comité élu dans la gestion administrative, financière et commerciale ont été mises en place. Les coopératives ont aujourd’hui les trois registres obligatoires cachetés par le greffe de tribunal et elles sont dans la légalité pour produire et vendre leurs produits.
De plus, la consultante a guidé ces coopératives dans la mise en place d’outils de gestion et dans l’élaboration de leur stratégie de commercialisation (création d’un logo et d’étiquettes de qualité).
Actuellement, elle poursuit son intervention auprès de ces coopératives en les accompagnant sur les aspects réglementaires et légaux et en les assistant pour l’obtention des autorisations ONSSA, organisme public marocain s’assurant de la conformité des produits vendus avec les normes nationales.
mardi 30 juillet 2019 | Afrique > Maroc | 4 documents
Pour rappel, la Phase 1 de ce projet avait permis à 16 coopératives féminines de développer des activités de séchage solaire, chacune ayant reçu 1 à 2 séchoirs solaires, des équipements pour la transformation des produits et une formation « technique de séchage et hygiène ».
Un premier bilan de l’action a permis de constater que toutes les coopératives équipées ne sont pas au même stade de développement : la seconde phase du projet consistera à accompagner les coopératives les moins développées sur le plan organisationnel, financier et commercial afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
Une consultante interviendra afin de renforcer les compétences des femmes de 4 coopératives situées dans la Province d’Azilal et plus précisément dans la Vallée d’Ait Bouguemez, à Ait-Bouli, à Ait-Blal, et à Ait-Oumdis. Des formations spécifiques et modulables seront organisées en termes de structuration de la coopérative, de gestion de l’activité et de techniques de commercialisation. Ces formations déboucheront sur un accompagnement personnalisé, fonction des besoins de chaque structure.
Un expert agronome sera également mobilisé, en partenariat avec la coopération allemande, l’objectif étant d’offrir une assistance technique aux femmes qui devront maîtriser et standardiser leur production pour augmenter leurs ventes et à terme, leurs revenus.
L’ensemble des actions prévues dans le cadre de la Phase 2 du projet seront mises en œuvre à partir de juin 2019.
Séchage fruits et légumes à Ait Bouli
mercredi 29 mai 2019 | Afrique > Maroc
Le SIF, en lien avec l’UNICEF, a donc fait appel à BISS afin de mener une mission de diagnostic permettant d’envisager la mise en place d’un projet de diffusion de plus de 9 000 foyers améliorés dans les régions du Moyen Chari et du Logone oriental.
Cette mission d’expertise menée par BISS s’est déroulée en plusieurs étapes :
Une phase préparatoire impliquant une recherche bibliographique et la conception d’outils de collecte de données (grille d’enquêtes notamment)
Une phase terrain permettant de mieux comprendre le contexte local, de rencontrer les parties prenantes et de collecter des données
Une phase de traitement et d’analyse aboutissant à la formulation de recommandations.
Patrick Fournier, bénévole expert de BISS, s’est particulièrement investi dans cette mission et a assuré la phase terrain qui a eu lieu du 14 au 23 décembre 2018. Il a été appuyé au siège par Agnès Rizzo (Directrice de BISS) et Marjorie Launay (Chargée de mission Programmes Internationaux).
Les principaux objectifs de la mission étaient les suivants :
Identifier des comportements et attentes de la population locale en matière de cuisson
Identifier des potentialités locales en termes de production, commercialisation et diffusion de foyers améliorés
Définir une stratégie de déploiement des foyers améliorés
Concevoir un module de formation à destination des équipes du SIF
Ce diagnostic initial aura permis de poser les premières bases d’un projet ambitieux s’adressant à une population (hôte et réfugiée) démunie face aux nombreuses crises que connaît le pays et qui ne peut accéder qu’au bois pour cuisiner. La fabrication et l’utilisation efficace de foyers améliorés, associées à des mesures complémentaires de protection de l’environnement, permettront de prévenir une crise environnementale majeure.
L’ensemble des résultats et conclusions de l’étude ont été partagées avec le SIF et restituées sous la forme d’un rapport final en mars 2019.
BISS propose son accompagnement, son expertise et des formations sur l’économie d’énergie de cuisson, téléchargez notre offre d’accompagnement et d’expertise.
jeudi 11 avril 2019 | Afrique > Tchad | 3 documents
Ce projet a permis l’accompagnement de 16 associations et coopératives féminines dans le développement d’activités de transformation de produits alimentaires grâce au séchage solaire. Chaque structure a reçu des séchoirs solaires, des équipements et des formations techniques. Le séchage solaire permet aux coopératives d’être plus productives (gain de temps), de fabriquer des produits de qualité et de diversifier leurs productions. Les femmes bénéficient ainsi d’un complément de revenus, l’objectif étant d’améliorer leurs conditions de vie et de favoriser leur autonomie.
Une mission a été réalisée par Agnès Rizzo et Michel Perrin, afin de définir les modalités de lancement d’une seconde phase qui portera essentiellement sur 3 volets :
1) Accompagner les coopératives et associations ciblées dans l’ensemble des étapes du processus de commercialisation des produits séchés afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
2) Structurer un réseau de coopératives « femmes entrepreneuses et séchage solaire » comprenant les 16 structures équipées de séchoirs solaires.
3) Apporter des formations techniques sur les pratiques de séchage.
mercredi 19 décembre 2018 | Afrique > Maroc
La formation, qui s’est déroulée sur 3 jours fin Novembre, a eu lieu à Natitingou dans les locaux de l’artisan principal avec qui BISS travaille depuis de nombreuses années. Adrien Heviofo, le chargé de projet, en a assuré l’organisation.
Après une présentation générale de BISS et du modèle de CBE conçu, la phase pratique en atelier a débuté. Les 2 artisans apprenants, l’un venant de Matéri et l’autre de Tanguiéta, avaient chacun une expérience en fabrication de foyers améliorés. Ils ont pu rapidement s’approprier les techniques de fabrication et on réalisé 2 CBE chacun.
A l’issu de la formation, les 2 hommes se sont montrés très satisfaits et se sont engagés à s’exercer dans leur propre atelier. BISS leur confira une petite production de CBE à réaliser dès le début d’année prochaine, sous la supervision du chargé de projet et de l’artisan principal qui pourront s’assurer de la qualité du travail effectué.
mercredi 19 décembre 2018 | Afrique > Bénin | 6 documents
Le projet COFIFAM (COnsolidation de la Filère de Foyers AMéliorés) a débuté en cette année 2018 avec pour objectif de rendre les acteurs de la chaîne de production et de vente autonomes. Les résultats visés sur 3 ans sont la consolidation d’une filière de foyers améliorés porteur d’une marque garantissant qualité et efficacité. Parallèlement, la diffusion de 17 000 cuiseurs d’usage domestique et professionnel sur le territoire de la Basse-Guinée contribuera à l’amélioration de inefficacité énergétique de la zone.
Les précédentes étapes du projet avaient permis de sélectionner 6 PME d’artisans soudeur qui ont produit depuis 2010 plus de 11 000 CBE. Afin de répondre aux objectifs plus ambitieux du projet Cofifam, une mission d’identification de nouvelles PME s’est effectuée sur les régions de Kindia, Boké et Conakry. Soit 1700km sur 10 jours. Ainsi, une vingtaine d’ateliers d’artisan ont pu être audités, parmi lesquels les futurs partenaires du projet pourront être sélectionnés et formés à la fabrication des cuiseurs économes.
En plus des rencontres avec les nouvelles PME potentielles, cette mission a permis de récolter des informations de terrain sur les habitudes de fabrication et d’utilisation des différentes technologies utilisées pour la cuisson en Base-Guinée. Ces données permettront à l’équipe de BISS, de posséder des données actualisées quant au besoin du marché et faciliteront le prototypage de nouveaux types de cuiseurs économes qui seront amenés à être diffusés en Guinée. Un étude filière, dont le consultant est en cours de recrutement, viendra compléter les informations recueillies par les équipes terrain, ceci afin d’étoffer la connaissance sur les attentes et comportements des clients sur le marché de la « cuisson », les chaines de production et de commercialisation des différents outils de « cuisson », les conditions du positionnement des outils de cuisson développés par le projet dans le marché local.
Kollet Keita, Chargé du développement local Guinée44, zone de Boké
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23 948 équipements écologiques diffusés bénéficient à plus de 120 000 personnes.
16 697 équipements écologiques bénéficient à près de 100 000 personnes.
5 238 outils de cuisson écologiques diffusés auprès des familles françaises depuis 2002
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