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Ce projet a permis l’accompagnement de 16 associations et coopératives féminines dans le développement d’activités de transformation de produits alimentaires grâce au séchage solaire. Chaque structure a reçu des séchoirs solaires, des équipements et des formations techniques. Le séchage solaire permet aux coopératives d’être plus productives (gain de temps), de fabriquer des produits de qualité et de diversifier leurs productions. Les femmes bénéficient ainsi d’un complément de revenus, l’objectif étant d’améliorer leurs conditions de vie et de favoriser leur autonomie.
Une mission a été réalisée par Agnès Rizzo et Michel Perrin, afin de définir les modalités de lancement d’une seconde phase qui portera essentiellement sur 3 volets :
1) Accompagner les coopératives et associations ciblées dans l’ensemble des étapes du processus de commercialisation des produits séchés afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
2) Structurer un réseau de coopératives « femmes entrepreneuses et séchage solaire » comprenant les 16 structures équipées de séchoirs solaires.
3) Apporter des formations techniques sur les pratiques de séchage.
mercredi 19 décembre 2018 | Afrique > Maroc
La formation, qui s’est déroulée sur 3 jours fin Novembre, a eu lieu à Natitingou dans les locaux de l’artisan principal avec qui BISS travaille depuis de nombreuses années. Adrien Heviofo, le chargé de projet, en a assuré l’organisation.
Après une présentation générale de BISS et du modèle de CBE conçu, la phase pratique en atelier a débuté. Les 2 artisans apprenants, l’un venant de Matéri et l’autre de Tanguiéta, avaient chacun une expérience en fabrication de foyers améliorés. Ils ont pu rapidement s’approprier les techniques de fabrication et on réalisé 2 CBE chacun.
A l’issu de la formation, les 2 hommes se sont montrés très satisfaits et se sont engagés à s’exercer dans leur propre atelier. BISS leur confira une petite production de CBE à réaliser dès le début d’année prochaine, sous la supervision du chargé de projet et de l’artisan principal qui pourront s’assurer de la qualité du travail effectué.
mercredi 19 décembre 2018 | Afrique > Bénin | 6 documents
Le projet COFIFAM (COnsolidation de la Filère de Foyers AMéliorés) a débuté en cette année 2018 avec pour objectif de rendre les acteurs de la chaîne de production et de vente autonomes. Les résultats visés sur 3 ans sont la consolidation d’une filière de foyers améliorés porteur d’une marque garantissant qualité et efficacité. Parallèlement, la diffusion de 17 000 cuiseurs d’usage domestique et professionnel sur le territoire de la Basse-Guinée contribuera à l’amélioration de inefficacité énergétique de la zone.
Les précédentes étapes du projet avaient permis de sélectionner 6 PME d’artisans soudeur qui ont produit depuis 2010 plus de 11 000 CBE. Afin de répondre aux objectifs plus ambitieux du projet Cofifam, une mission d’identification de nouvelles PME s’est effectuée sur les régions de Kindia, Boké et Conakry. Soit 1700km sur 10 jours. Ainsi, une vingtaine d’ateliers d’artisan ont pu être audités, parmi lesquels les futurs partenaires du projet pourront être sélectionnés et formés à la fabrication des cuiseurs économes.
En plus des rencontres avec les nouvelles PME potentielles, cette mission a permis de récolter des informations de terrain sur les habitudes de fabrication et d’utilisation des différentes technologies utilisées pour la cuisson en Base-Guinée. Ces données permettront à l’équipe de BISS, de posséder des données actualisées quant au besoin du marché et faciliteront le prototypage de nouveaux types de cuiseurs économes qui seront amenés à être diffusés en Guinée. Un étude filière, dont le consultant est en cours de recrutement, viendra compléter les informations recueillies par les équipes terrain, ceci afin d’étoffer la connaissance sur les attentes et comportements des clients sur le marché de la « cuisson », les chaines de production et de commercialisation des différents outils de « cuisson », les conditions du positionnement des outils de cuisson développés par le projet dans le marché local.
Kollet Keita, Chargé du développement local Guinée44, zone de Boké
mardi 9 octobre 2018 | Afrique > Guinée
Dans la région de Natitingou (chef-lieu du Département de l’Atacora), les pertes de produits agricoles et maraîchers tels que la mangue, la pomme de cajou et le raisin d’Afrique sont très importantes. Les productions sont abondantes mais sont souvent perdues ou non valorisées du fait d’un manque d’outils et de formations pour assurer la transformation. Ces pertes post-récolte constituent un problème majeur pour les petits producteurs qui peuvent être contraints de céder leur production très périssable à des prix dérisoires.
Les femmes, en charge des tâches du foyers et des travaux des champs, se réunissent sous forme de groupements pour développer quelques activités économiques (étuvage de riz, production de beurre de karité, fabrication de fromage de soja). Elles manquent cependant de moyens financiers, matériels et logistiques.
Kocali Food, entreprise sociale située à Natitingou, se mobilise pour la promotion des produits agroalimentaires locaux, la réduction de l’insécurité alimentaire et de la pauvreté. Elle développe activement son volet de transformation et produit notamment des jus de fruits (mangue, baobab, tamarin) commercialisés sous la marque « Yérika ». L’entreprise souhaite développer une nouvelle gamme de produits, les fruits séchés, en créant une chaîne de valeur : les groupements féminins, situés en zone rurale tout près des lieux de récoltes, seraient responsables de la production de fruits séchés et l’entreprise Kocali Food, proche des consommateurs, assurerait le conditionnement et la commercialisation.
BISS travaille déjà sur l’utilisation de l’énergie solaire pour la valorisation des produits agroalimentaires au Maroc et en Bolivie. Fort de ses expériences, l’association envisage de répliquer ses actions visant le développement d’activités génératrices de revenus autour du séchage solaire, tout en s’appuyant sur une dynamique d’acteurs locaux installés.
La rencontre entre Kocali Food et BISS a permis de faire converger des préoccupations communes et la formalisation d’un projet collaboratif est en cours de réflexion.
mardi 9 octobre 2018 | Afrique > Bénin | 4 documents
Depuis le début de l’année 2018, le projet en Guinée est entré dans une nouvelle phase visant à développer une filière locale de production et de commercialisation de CHRE. L’objectif est de produire et vendre 17 000 CHRE d’ici 2020. Pour atteindre ce résultat, le projet prévoit de diversifier la gamme d’outils proposée depuis le début du projet en 2010 et d’assurer l’autonomie du projet dans la production et commercialisation de cette gamme d’outils.
Afin d’avoir une meilleure compréhension du marché de la cuisson en Basse-Guinée, un appel d’offre pour une mission de consulting a été publié sur le site de BISS et de CA-G44. Le consultant aura pour mission d’analyser les éléments suivants : - Les chaînes d’approvisionnement, de production et de commercialisation des différents outils de cuisson disponibles en Basse-Guinée - Les attentes et les comportements des clients sur le marché de la cuisson - Les conditions de positionnement des outils de cuisson développés par le projet COFIFAM dans le marché local
Le début de cette étude filière est prévu le 1er octobre 2018 pour une remise du rapport complet le 20 décembre 2018. Les résultats de cette étude pourront être exploités par le groupe de travail de BISS en charge de la diversification des outils pour le projet Guinée. Les bénévoles de BISS membres de ce groupe de travail bénéficieront ainsi d’informations utiles sur le marché local guinéen pour développer de nouveaux outils adaptés aux besoins des populations et à un coût abordable.
lundi 10 septembre 2018 | Afrique > Guinée
« Cette mission, dont l’objectif était d’effectuer une mesure des impacts du projet et de définir les perspectives de développement, a été très riche d’apprentissage et de rencontres. Au côté de BISS, Tafarnout était aussi mobilisé par le biais du chef de projet Tarik, des 3 animatrices locales du projet et de son Président.
L’évaluation du projet portait notamment sur 2 aspects : la diffusion de 713 CBE auprès de familles vivant dans des villages isolés et l’accompagnement de 16 coopératives féminines dans la mise en place d’activités de séchage solaire. Nous avons également dédié une partie de la mission aux femmes ayant suivi les cours d’alphabétisation mis en place ces dernières années.
Pour le volet CBE, nous avons eu l’occasion de visiter une trentaine de familles utilisant les CBE dans 3 villages de montagne, situées dans les communes de Ait Blal et Ait Bou Ouli. Les femmes qui nous ont accueilli chez elles nous ont fait découvrir leurs habitudes de vie et surtout de cuisine en répondant à questionnaire conçu pour savoir comment elles utilisent le CBE et ce qui a changé pour elles. L’outil est utilisé tous les jours que ce soit pour cuisiner, chauffer de l’eau, chauffer la maison ou teindre de la laine. 95% des femmes interrogées affirment avoir réduit de manière considérable leur consommation de bois. Les femmes, qui marchent jusqu’à 3 ou 4 heures pour trouver du bois, ont divisé par 2 leur fréquence de collecte grâce au CBE. Elles gagnent du temps et peuvent se consacrer au travail des champs, au tissage de tapis berbère ou aux activités d’une coopérative. De cette façon, elles génèrent quelques revenus supplémentaires. Les femmes observent aussi une diminution de leur dépenses en combustibles (gaz), une réduction des fumées inhalées et un risque de brûlure plus faible autour du CBE. Les impacts du projet sont conséquents au niveau environnemental, économique et social.
En parallèle, nous avons également rencontré 5 groupes de femmes ayant suivi les cours d’alphabétisation dans cette zone et nos discussions m’ont fait prendre conscience de l’impact de ces séances sur la vie des femmes au quotidien. Elles savent à présent lire, écrire, compter mais surtout, elles peuvent suivre la scolarité de leurs enfants, faire des achats seules, comprendre des documents de prévention. Dans le cadre de leur travail à la coopérative, de nouvelles possibilités s’ouvrent à elles : en apprenant à mesurer des longueurs, gérer les stocks, peser des quantités, faire des factures, utiliser un téléphone, etc. elles prennent confiance en elles, deviennent plus autonomes et gagnent ainsi le respect de leur entourage.
D’autre part, le volet séchage solaire a permis la sélection de 16 coopératives aux profils variés et réparties sur plusieurs provinces, celles d’Azilal, Beni Mellal, Rehamna, Al Haouz et El Kelaâ des Sraghna. Notre mission nous a donc conduit dans différentes zones du Maroc pour rencontrer les femmes des coopératives, dirigeantes et adhérentes. Les femmes sont ravies de cet outil qui fonctionne avec une énergie propre et gratuite et simple d’utilisation. Elles ont constaté d’importants changements entre le séchage traditionnel et solaire : le temps de séchage est plus court, les pertes de fruits/légumes sont moindres, la qualité des produits est meilleure (pas de brûlure, pas de poussière, etc). Les productions se diversifient : pomme, tomate, navet, couscous mais aussi noix, amandes, plantes, épices, etc. Les femmes commencent à augmenter leurs revenus mais ce n’est pas sans rencontrer de difficultés : les réseaux de vente sont difficiles à mettre en place, surtout sans l’obtention de certaines autorisations, sans oublier que les hommes sont parfois réticents à l’implication des femmes dans les coopératives.
Nous envisageons donc de poursuivre notre accompagnement des coopératives en se concentrant sur la commercialisation des produits et le renforcement organisationnel. Il s’agira à présent de standardiser les productions, de renforcer les capacités des femmes en terme organisationnel, financier et commercial. La deuxième phase du projet devrait permettre d’assurer la durabilité des activités de séchage mises en place.
Notre mission de suivi-évaluation s’est achevée sur l’organisation d’un focus group réunissant les présidentes de coopératives afin d’amorcer la création d’un réseau « femmes entrepreneuses et séchage solaire », l’objectif étant de permettre un partage d’expériences, la mise en place d’un réseau de vente commun et la création d’une marque ou d’un label valorisant l’utilisation de l’énergie solaire.
Les prochaines étapes du projet sont ambitieuses et à la hauteur de la motivation des femmes, ce qui laisse entrevoir une suite de projet dynamique et de nouvelles collaborations. »
Marjorie Launay
Volontaire en Service Civique
Appui au développement et au suivi des programmes internationaux
lundi 10 septembre 2018 | Afrique > Maroc | 9 documents
Depuis 2013, BISS et Tafarnout s’associent pour la diffusion de cuiseurs à bois économes (CBE) pour les ménages et de poêles à bois pour le chauffage dans les écoles des villages ruraux de la Province d’Azilal au Maroc. Des cours d’alphabétisation sont organisés pour les femmes membres de coopératives. Ces femmes, libérées d’une corvée de bois moins pesante, peuvent envisager de développer de nouvelles activités génératrices de revenus : c’est le second volet du projet, qui vise à développer une composante autour du séchage solaire pour les coopératives transformatrices de produits agro-alimentaires.
L’été 2018 marque la fin de la première année du projet financé par la Fondation RAJA, la Ville de Nantes et le Conseil Régional. La mission de suivi-évaluation permettra de réaliser un premier bilan des activités menées, de déterminer si les objectifs fixés ont été atteints et de mesurer les impacts du projet. Elle portera sur les différents volets de l’action : la diffusion de CBE et des poêles à bois, les sessions d’alphabétisation et l’accompagnement des coopératives dans la mise en place d’activités de séchage solaire.
Le chef de projet, les animatrices locales ainsi que le Président de Tafarnout se joindront à l’équipe de BISS pour réaliser ce travail qui s’appuiera notamment sur des enquêtes de terrain et des réunions de travail avec les partenaires du projet.
vendredi 6 juillet 2018 | Afrique > Maroc | 3 documents
Depuis mai 2016, le projet en Guinée est labellisé par la fondation Gold Standard et bénéficie d’une période d’accréditation de 10 ans pendant laquelle chaque tonne de CO2 évitée sur la zone de Kindia/Télimélé génère une unité de crédit carbone. En février 2017, la première enquête de monitoring a permis d’établir l’économie de 3 430 tonnes d’émissions de CO2 au titre de l’année 2015, générant ainsi autant de crédits carbone et ce grâce à la diffusion de 923 Cuiseurs à Bois Economes (CBE).
Les CBE diffusés en Guinée ayant une durée de vie définie à 4 ans dans le cadre de la labellisation Gold Standard, les réductions d’émissions de CO2 permises par les CBE seront comptabilisées sur l’ensemble de leur durée de vie. Les enquêtes de monitoring impliquent donc d’apprécier les CBE par groupe d’âge en fonction de leur année de diffusion.
La deuxième enquête de monitoring, au titre de l’année 2016, a été effectuée selon cette même logique du 11 au 25 mai 2018 avec nos partenaires Guinée 44 et l’APEK Agriculture, et sous la supervision de Michel Perrin, référent bénévole de BISS pour le projet Guinée. Cette enquête a pris en compte les réductions d’émissions permises par les 923 CBE diffusés en 2015 sur leur deuxième année de vie et par les 1 300 CBE diffusés en 2016 sur leur première année de vie.
L’étape à suivre est la saisie des données collectées lors de l’enquête avant la rédaction du rapport de monitoring destiné à Gold Standard afin d’obtenir la certification des tonnes de CO2 évitées grâce au projet lors de l’année 2016.
Cliquez sur le document si vous souhaitez en savoir plus sur la compensation carbone volontaire
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Guinée
L’objectif de ce projet d’étude était de comprendre comment les paramètres de séchage impactaient la qualité nutritionnelle des produits finis. Il s’agissait donc d’effectuer des tests de séchage indirect dans des conditions similaires à un séchage solaire.
Le projet s’est composé de 2 parties :
1. un travail de recherche bibliographie pour s’imprégner du sujet et mettre en place un protocole de test
2. 4 séances de travaux pratiques pour réaliser des tests et formuler des conclusions sur les paramètres optimales de séchage et sur la qualité des produits séchés.
Les étudiants ont eu à leur disposition 2 séchoirs hybrides prêtés par BISS. Ils se sont concentrés sur le navet et surtout la pomme dont la production annuelle atteint 150.000 tonnes dans la Vallée d’Ait Bouguemez, lieu de déploiement du projet de séchage solaire au Maroc.
A chaque séance de travaux pratiques, les quatre étudiants ont fait varier les paramètres de séchage et ont réalisé différentes mesures : suivi de la masse, de la température, de la teneur en eau, de la texture, de la conservation, etc. Pour compléter ces tests, ils ont également fait appel au laboratoire Upsciences, pour juger de la teneur en vitamine C des produits séchés.
Les principales conclusions de cette étude ont été les suivantes :
la consommation des produits séchés est sans risque pour le consommateur
après 1 mois de conservation, les produits sont sains et sûrs, quelque soit le mode de conservation
les paramètres de séchage ne modifie pas le goût ni la couleur, seulement la texture du produit
une température de séchage basse permet de conserver une partie importante de la vitamine C présente dans la pomme
la durée optimale de séchage est de 48 heures
les tranches de pommes fines sont à privilégier pour un séchage rapide et une texture croquante, plus appréciée des consommateurs
Cette expérience a été riche d’enseignements pour les étudiants qui ont beaucoup apprécié le travail en partenariat avec l’association du fait de l’autonomie dont il disposait et du caractère concret de leurs recherches. Nous les remercions tous les 4 de leur investissement et leur souhaitons une excellente continuation. Nous espérons renouveler dans l’avenir ce type de partenariat étudiant qui constitue une véritable valeur ajoutée pour l’association et qui permet aux jeunes d’être impliqués dans des projets de solidarité internationale.
Retour des étudiants d’ONIRIS dans les locaux de BISS, en présence des salariés et bénévoles investis dans le séchage solaire
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Maroc
Dans cette région aux productions variées, des pertes importantes de récoltes sont constatées, faute de moyens de conservation ou de transformation adéquats, le projet prévoyait l’accompagnement de deux coopératives de la Vallée d’Ait Bouguemez dans la création d’activités de transformation par le séchage solaire.
Afin de renforcer leur autonomie et à améliorer leurs conditions de vie, le projet a permis aux femmes des coopératives de se doter de séchoirs solaires (type coquillage), d’être appuyées dans l’aménagement d’un lieu de production adaptée, ainsi que de participer aux formations nécessaires pour transformer, conserver et commercialiser leurs produits séchés (fruits, légumes, herbes, couscous) .
Au total, 7 coopératives sont aujourd’hui équipées et 6 autres ont été identifiées pour poursuivre le déploiement du projet.
Les formations techniques, initialement réalisées par BISS, sont désormais assurées par les animatrices locales ayant renforcé leurs compétences dans le cadre du projet.
Une équipe de BISS, mènera une mission d’évaluation du 05 au 13 juillet pour apprécier les impacts et approfondir les axes de déploiement du projet.
Formation séchage à la coopérative Taitmatine
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Maroc | 5 documents
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23 948 équipements écologiques diffusés bénéficient à plus de 120 000 personnes.
16 697 équipements écologiques bénéficient à près de 100 000 personnes.
5 238 outils de cuisson écologiques diffusés auprès des familles françaises depuis 2002
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