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Favoriser l’entrepreneuriat féminin en développant des activités économiques énergétiquement innovantes auprès de coopératives de femmes au Maroc.
Amélioration des conditions matérielles de production et de vente pour deux coopératives de femmes.
Renforcement des capacités des femmes des coopératives (formation technique, gestion et commercialisation).
Bénéficiaires : 60 femmes des coopératives de la commune de M’Hamid El Ghizlane et leurs familles, 1 artisans et ses apprentis
Partenaire local : Nabta Maroc
Articles 11-20 sur 31
Pour rappel, la Phase 1 de ce projet avait permis à 16 coopératives féminines de développer des activités de séchage solaire, chacune ayant reçu 1 à 2 séchoirs solaires, des équipements pour la transformation des produits et une formation « technique de séchage et hygiène ».
Un premier bilan de l’action a permis de constater que toutes les coopératives équipées ne sont pas au même stade de développement : la seconde phase du projet consistera à accompagner les coopératives les moins développées sur le plan organisationnel, financier et commercial afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
Une consultante interviendra afin de renforcer les compétences des femmes de 4 coopératives situées dans la Province d’Azilal et plus précisément dans la Vallée d’Ait Bouguemez, à Ait-Bouli, à Ait-Blal, et à Ait-Oumdis. Des formations spécifiques et modulables seront organisées en termes de structuration de la coopérative, de gestion de l’activité et de techniques de commercialisation. Ces formations déboucheront sur un accompagnement personnalisé, fonction des besoins de chaque structure.
Un expert agronome sera également mobilisé, en partenariat avec la coopération allemande, l’objectif étant d’offrir une assistance technique aux femmes qui devront maîtriser et standardiser leur production pour augmenter leurs ventes et à terme, leurs revenus.
L’ensemble des actions prévues dans le cadre de la Phase 2 du projet seront mises en œuvre à partir de juin 2019.
Séchage fruits et légumes à Ait Bouli
mercredi 29 mai 2019 | Afrique > Maroc
Ce projet a permis l’accompagnement de 16 associations et coopératives féminines dans le développement d’activités de transformation de produits alimentaires grâce au séchage solaire. Chaque structure a reçu des séchoirs solaires, des équipements et des formations techniques. Le séchage solaire permet aux coopératives d’être plus productives (gain de temps), de fabriquer des produits de qualité et de diversifier leurs productions. Les femmes bénéficient ainsi d’un complément de revenus, l’objectif étant d’améliorer leurs conditions de vie et de favoriser leur autonomie.
Une mission a été réalisée par Agnès Rizzo et Michel Perrin, afin de définir les modalités de lancement d’une seconde phase qui portera essentiellement sur 3 volets :
1) Accompagner les coopératives et associations ciblées dans l’ensemble des étapes du processus de commercialisation des produits séchés afin de permettre aux femmes de mettre en place une activité rémunératrice durable.
2) Structurer un réseau de coopératives « femmes entrepreneuses et séchage solaire » comprenant les 16 structures équipées de séchoirs solaires.
3) Apporter des formations techniques sur les pratiques de séchage.
mercredi 19 décembre 2018 | Afrique > Maroc
« Cette mission, dont l’objectif était d’effectuer une mesure des impacts du projet et de définir les perspectives de développement, a été très riche d’apprentissage et de rencontres. Au côté de BISS, Tafarnout était aussi mobilisé par le biais du chef de projet Tarik, des 3 animatrices locales du projet et de son Président.
L’évaluation du projet portait notamment sur 2 aspects : la diffusion de 713 CBE auprès de familles vivant dans des villages isolés et l’accompagnement de 16 coopératives féminines dans la mise en place d’activités de séchage solaire. Nous avons également dédié une partie de la mission aux femmes ayant suivi les cours d’alphabétisation mis en place ces dernières années.
Pour le volet CBE, nous avons eu l’occasion de visiter une trentaine de familles utilisant les CBE dans 3 villages de montagne, situées dans les communes de Ait Blal et Ait Bou Ouli. Les femmes qui nous ont accueilli chez elles nous ont fait découvrir leurs habitudes de vie et surtout de cuisine en répondant à questionnaire conçu pour savoir comment elles utilisent le CBE et ce qui a changé pour elles. L’outil est utilisé tous les jours que ce soit pour cuisiner, chauffer de l’eau, chauffer la maison ou teindre de la laine. 95% des femmes interrogées affirment avoir réduit de manière considérable leur consommation de bois. Les femmes, qui marchent jusqu’à 3 ou 4 heures pour trouver du bois, ont divisé par 2 leur fréquence de collecte grâce au CBE. Elles gagnent du temps et peuvent se consacrer au travail des champs, au tissage de tapis berbère ou aux activités d’une coopérative. De cette façon, elles génèrent quelques revenus supplémentaires. Les femmes observent aussi une diminution de leur dépenses en combustibles (gaz), une réduction des fumées inhalées et un risque de brûlure plus faible autour du CBE. Les impacts du projet sont conséquents au niveau environnemental, économique et social.
En parallèle, nous avons également rencontré 5 groupes de femmes ayant suivi les cours d’alphabétisation dans cette zone et nos discussions m’ont fait prendre conscience de l’impact de ces séances sur la vie des femmes au quotidien. Elles savent à présent lire, écrire, compter mais surtout, elles peuvent suivre la scolarité de leurs enfants, faire des achats seules, comprendre des documents de prévention. Dans le cadre de leur travail à la coopérative, de nouvelles possibilités s’ouvrent à elles : en apprenant à mesurer des longueurs, gérer les stocks, peser des quantités, faire des factures, utiliser un téléphone, etc. elles prennent confiance en elles, deviennent plus autonomes et gagnent ainsi le respect de leur entourage.
D’autre part, le volet séchage solaire a permis la sélection de 16 coopératives aux profils variés et réparties sur plusieurs provinces, celles d’Azilal, Beni Mellal, Rehamna, Al Haouz et El Kelaâ des Sraghna. Notre mission nous a donc conduit dans différentes zones du Maroc pour rencontrer les femmes des coopératives, dirigeantes et adhérentes. Les femmes sont ravies de cet outil qui fonctionne avec une énergie propre et gratuite et simple d’utilisation. Elles ont constaté d’importants changements entre le séchage traditionnel et solaire : le temps de séchage est plus court, les pertes de fruits/légumes sont moindres, la qualité des produits est meilleure (pas de brûlure, pas de poussière, etc). Les productions se diversifient : pomme, tomate, navet, couscous mais aussi noix, amandes, plantes, épices, etc. Les femmes commencent à augmenter leurs revenus mais ce n’est pas sans rencontrer de difficultés : les réseaux de vente sont difficiles à mettre en place, surtout sans l’obtention de certaines autorisations, sans oublier que les hommes sont parfois réticents à l’implication des femmes dans les coopératives.
Nous envisageons donc de poursuivre notre accompagnement des coopératives en se concentrant sur la commercialisation des produits et le renforcement organisationnel. Il s’agira à présent de standardiser les productions, de renforcer les capacités des femmes en terme organisationnel, financier et commercial. La deuxième phase du projet devrait permettre d’assurer la durabilité des activités de séchage mises en place.
Notre mission de suivi-évaluation s’est achevée sur l’organisation d’un focus group réunissant les présidentes de coopératives afin d’amorcer la création d’un réseau « femmes entrepreneuses et séchage solaire », l’objectif étant de permettre un partage d’expériences, la mise en place d’un réseau de vente commun et la création d’une marque ou d’un label valorisant l’utilisation de l’énergie solaire.
Les prochaines étapes du projet sont ambitieuses et à la hauteur de la motivation des femmes, ce qui laisse entrevoir une suite de projet dynamique et de nouvelles collaborations. »
Marjorie Launay
Volontaire en Service Civique
Appui au développement et au suivi des programmes internationaux
lundi 10 septembre 2018 | Afrique > Maroc | 9 documents
Depuis 2013, BISS et Tafarnout s’associent pour la diffusion de cuiseurs à bois économes (CBE) pour les ménages et de poêles à bois pour le chauffage dans les écoles des villages ruraux de la Province d’Azilal au Maroc. Des cours d’alphabétisation sont organisés pour les femmes membres de coopératives. Ces femmes, libérées d’une corvée de bois moins pesante, peuvent envisager de développer de nouvelles activités génératrices de revenus : c’est le second volet du projet, qui vise à développer une composante autour du séchage solaire pour les coopératives transformatrices de produits agro-alimentaires.
L’été 2018 marque la fin de la première année du projet financé par la Fondation RAJA, la Ville de Nantes et le Conseil Régional. La mission de suivi-évaluation permettra de réaliser un premier bilan des activités menées, de déterminer si les objectifs fixés ont été atteints et de mesurer les impacts du projet. Elle portera sur les différents volets de l’action : la diffusion de CBE et des poêles à bois, les sessions d’alphabétisation et l’accompagnement des coopératives dans la mise en place d’activités de séchage solaire.
Le chef de projet, les animatrices locales ainsi que le Président de Tafarnout se joindront à l’équipe de BISS pour réaliser ce travail qui s’appuiera notamment sur des enquêtes de terrain et des réunions de travail avec les partenaires du projet.
vendredi 6 juillet 2018 | Afrique > Maroc | 3 documents
L’objectif de ce projet d’étude était de comprendre comment les paramètres de séchage impactaient la qualité nutritionnelle des produits finis. Il s’agissait donc d’effectuer des tests de séchage indirect dans des conditions similaires à un séchage solaire.
Le projet s’est composé de 2 parties :
1. un travail de recherche bibliographie pour s’imprégner du sujet et mettre en place un protocole de test
2. 4 séances de travaux pratiques pour réaliser des tests et formuler des conclusions sur les paramètres optimales de séchage et sur la qualité des produits séchés.
Les étudiants ont eu à leur disposition 2 séchoirs hybrides prêtés par BISS. Ils se sont concentrés sur le navet et surtout la pomme dont la production annuelle atteint 150.000 tonnes dans la Vallée d’Ait Bouguemez, lieu de déploiement du projet de séchage solaire au Maroc.
A chaque séance de travaux pratiques, les quatre étudiants ont fait varier les paramètres de séchage et ont réalisé différentes mesures : suivi de la masse, de la température, de la teneur en eau, de la texture, de la conservation, etc. Pour compléter ces tests, ils ont également fait appel au laboratoire Upsciences, pour juger de la teneur en vitamine C des produits séchés.
Les principales conclusions de cette étude ont été les suivantes :
la consommation des produits séchés est sans risque pour le consommateur
après 1 mois de conservation, les produits sont sains et sûrs, quelque soit le mode de conservation
les paramètres de séchage ne modifie pas le goût ni la couleur, seulement la texture du produit
une température de séchage basse permet de conserver une partie importante de la vitamine C présente dans la pomme
la durée optimale de séchage est de 48 heures
les tranches de pommes fines sont à privilégier pour un séchage rapide et une texture croquante, plus appréciée des consommateurs
Cette expérience a été riche d’enseignements pour les étudiants qui ont beaucoup apprécié le travail en partenariat avec l’association du fait de l’autonomie dont il disposait et du caractère concret de leurs recherches. Nous les remercions tous les 4 de leur investissement et leur souhaitons une excellente continuation. Nous espérons renouveler dans l’avenir ce type de partenariat étudiant qui constitue une véritable valeur ajoutée pour l’association et qui permet aux jeunes d’être impliqués dans des projets de solidarité internationale.
Retour des étudiants d’ONIRIS dans les locaux de BISS, en présence des salariés et bénévoles investis dans le séchage solaire
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Maroc
Dans cette région aux productions variées, des pertes importantes de récoltes sont constatées, faute de moyens de conservation ou de transformation adéquats, le projet prévoyait l’accompagnement de deux coopératives de la Vallée d’Ait Bouguemez dans la création d’activités de transformation par le séchage solaire.
Afin de renforcer leur autonomie et à améliorer leurs conditions de vie, le projet a permis aux femmes des coopératives de se doter de séchoirs solaires (type coquillage), d’être appuyées dans l’aménagement d’un lieu de production adaptée, ainsi que de participer aux formations nécessaires pour transformer, conserver et commercialiser leurs produits séchés (fruits, légumes, herbes, couscous) .
Au total, 7 coopératives sont aujourd’hui équipées et 6 autres ont été identifiées pour poursuivre le déploiement du projet.
Les formations techniques, initialement réalisées par BISS, sont désormais assurées par les animatrices locales ayant renforcé leurs compétences dans le cadre du projet.
Une équipe de BISS, mènera une mission d’évaluation du 05 au 13 juillet pour apprécier les impacts et approfondir les axes de déploiement du projet.
Formation séchage à la coopérative Taitmatine
vendredi 1er juin 2018 | Afrique > Maroc | 5 documents
Lors de la formation réalisée en Octobre 2017 par Jacques Prevost, bénévole de BISS, les femmes de deux coopératives et les monitrices du projet avaient acquis des connaissances sur les principes de séchage solaire et l’utilisation des séchoirs de type coquillage.
A présent, les monitrices se sont appropriées les techniques et deviennent à leur tour formatrices. Elles assurent la poursuite des formations, organisées par notre partenaire local l’association Tafarnout, et transmettent leurs savoir-faire aux femmes des coopératives nouvellement équipées de séchoirs solaires. La réplication des formations souligne le transfert de compétences entre BISS et ses partenaires marocains. Une belle réussite d’appropriation du projet.
Récemment en déplacement au Maroc, Jacques Prevost a pu rencontrer la dirigeante d’une des coopératives à l’origine du projet. Pendant l’hiver, les conditions météorologiques dans la vallée ont empêché les femmes de poursuivre le séchage des produits. Le mois de mars signe donc la reprise des activités. Les premiers séchoirs, livrés en juillet 2017, continuent d’être utilisés. Les produits séchés, essentiellement des pommes, se sont très facilement vendus ce qui confirme l’existence de débouchés et présage de jolies perspectives pour la suite du projet.
mercredi 11 avril 2018 | Afrique > Maroc | 5 documents
L’association Tafarnout a mené le projet de diffusion de cuiseurs à bois pour les familles et de chaudières économes dans les écoles de la province d’Azilal. Au total, ce sont plus de 700 CBE et 160 poêles qui ont été distribués, améliorant les conditions de vie de près de 5000 personnes et les conditions de scolarisation de près de 5000 écoliers. Plus de 150 femmes ont aussi suivi des sessions d’alphabétisation.
Sur ce projet, Tafarnout a sollicité des financements auprès du Programme des Nations Unies pour le Développement et de l’association Heure Joyeuse
L’année 2017 est aussi marquée par le début réussi du projet de séchage solaire, qui a vu l’équipement d’une unité de production pour deux coopératives de la Vallée d’Ait Bouguemez, voisine de celle d’Ait Blal où se déroule le projet CBE. Elles ont été équipées chacune de deux séchoirs, fabriqués sur place pour transformer, mieux conserver et vendre de nombreux produits (fruits, légumes, herbes, couscous).
Une formation technique sur l’utilisation des séchoirs a été menée par un bénévole de BISS et grâce au soutien continu de l’association Tafarnout sur place.
Cette phase de prototype est maintenant terminée et plusieurs autres coopératives, six au total, ont été identifiées en décembre pour être équipées et formées. Les activités vont reprendre progressivement après une période de plus d’un mois marquée par d’incroyables intempéries de neige dans la région.
Le déroulement du projet a aussi permis de consolider un partenariat important avec des organismes étudiants, tout en renforçant les compétences de notre partenaire local Tafarnout.
Trois étudiants de l’École Centrale de Nantes engagés à Ingénieurs Sans Frontières sont partis durant l’été pour tester les séchoirs et valider leurs caractéristiques. Un partenariat est aussi en cours avec un groupe d’étudiants en cursus d’ingénierie agroalimentaire à l’école Oniris de Nantes pour réaliser une série de tests en laboratoire afin de connaître les qualités nutritionnelles de certains produits séchés au Maroc (pommes et navets).
Ce projet a été rendu possible par les subventions de la Fondation RAJA Danièle Marcovici qui nous avait renouvelé son soutien. La Ville de Nantes et le Conseil Régional des Pays de la Loire nous soutiennent également pour cette année 2018 sur les activités de séchage et d’innovations solaires.
mardi 6 février 2018 | Afrique > Maroc | 3 documents
L’objectif est d’approfondir les connaissances des femmes des coopératives agricoles sur les principes de séchage et l’utilisation des séchoirs de type coquillage nouvellement installés.
Pendant une semaine, Jacques Prévost, bénévole de BISS et expert du séchage solaire, s’est rendu sur place pour assurer cette formation mêlant théorie et pratique. Pour cela, il a pu compter sur le soutien de notre partenaire Tafarnout, et de formatrices engagées dans le projet de CBE et d’alphabétisation.
Jacques a ainsi pu approfondir les points essentiels à la transformation de produits de qualité, notamment en complétant les principes d’hygiène et de préparation des produits, l’installation des produits dans le séchoir, le suivi des temps de séchage, les principes de conservation et de conditionnement des produits séchés, etc.
Les fruits, légumes et herbes aromatiques à sécher sont nombreux à cette période de l’année, et pourront être vendus sur les marchés locaux et à destination des touristes très présents dans la vallée.
L’utilisation du séchoir pour la conception de plats traditionnels comme le couscous aux navets offre de belles perspectives au projet et montre l’engagement des utilisatrices. Les temps de séchage sont aussi extrêmement réduits.
En plus de cet accompagnement direct aux utilisatrices, cette formation a permis de capitaliser l’expérience acquise depuis le démarrage du projet, notamment par la mission des étudiants d’Ingénieurs Sans Frontières.
vendredi 27 octobre 2017 | Afrique > Maroc | 4 documents
Jeudi 28 septembre , ils ont organisé une restitution de la mission, en présence de Hassan, chargé de projet de l’Association Tafarnout, partenaire marocain de BISS pour les projets de CBE, alphabétisation et maintenant de séchage solaire.
Après avoir présenté certains points de leur rapport, notamment les fiches produits, ils nous ont fait goûter quelques produits séchés qu’ils ont ramené en France (pommes, navets, prunes, pêches).
Ils nous ont également présenté une petite vidéo sur la préparation des pommes pour le séchage.
La mission a été plus que bénéfique, tant pour eux d’un point de vue personnel, technique et dans le cadre de leurs études d’ingénieurs ; que pour BISS pour la poursuite du projet, les séchoirs ayant été validés et ajustés aux demandes des femmes grâce au travail acharné du DRI.
Les prochaines étapes sont les formations des femmes des coopératives, organisées selon trois modules :
Le premier concerne les techniques de séchage solaire et d’utilisation des séchoirs, formation réalisée par Jacques Prévost, bénévole de BISS, du 02 au 06 octobre
Le deuxième prévoie un renforcement des capacités organisationnelles des coopératives, en lien avec la réalisation d’une nouvelle activité de production (octobre-novembre 2017)
Le troisième rend compte du renforcement des capacités de production, de suivi de l’activité, de commercialisation et de techniques de vente dans le cadre d’une Activité Génératrice de Revenus (octobre-novembre 2017).
vendredi 6 octobre 2017 | Afrique > Maroc | 6 documents
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23 948 équipements écologiques diffusés bénéficient à plus de 120 000 personnes.
16 697 équipements écologiques bénéficient à près de 100 000 personnes.
5 238 outils de cuisson écologiques diffusés auprès des familles françaises depuis 2002
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